Si je me souviens bien du premier problème que j'ai avec mon père vient de ma naissance. Durant toute la grossesse de ma mère, je ne montrais que mon postérieur au médecin. Donc deviner de quelle sexes je pouvais bien être étais un peu compliqué. Mon père avait hâte à l'idée d'avoir un fils digne héritier de sa fortune et de son ''job''. Mon père travail dans le trie sélectif comme il aime dire. A vraie dire tant que tu lui es utile tu peux vivre, dès que tu deviens inutile ou que tu ne lui rembourses pas tu pars à la déchetterie. Ce que m'ont père appréciait le plus excepté se prendre pour dieu, c'est forcé les gens qui ne pourront pas lui rembourser à lui prendre de l'argent. Donc oui le jour où il vu ma petite bouille de fille, il n'a pas sauté au plafond. Ma vie a toujours été de me demander pourquoi je n'étais pas un garçon.

La naissance c'est le commencement de ta vie, mais ma naissance ne se fut pas ce jour-là. Non, c'était le jour de mes sept ans je portais une robe rose que ma mère avait mis tant de temps à coudre. Après avoir reçu des millions de cadeau de la part de personne dont j'ignoré tout. Je me suis excipé en douce pour aller faire un tour, dans le champ. Le seul endroit où je me sentais moi-même. C'est là où je le regardais tous les jours. Il savait que je le regardai parce qu'il me faisait toujours de grimace du haut de sa fenêtre. Mais ce jour-là, il n'était pas à sa fenêtre, il était dans son jardin. Il était à terre et sa mère qui hurlait des choses incompréhensibles. Je ne comprenais pas, ce petit garçon plein de vie était à terre, pleurer et refuse de bouger. Alors, je courus me posa sur lui, quand soudain sa mère me frappa à sa place et il parti. Surement désemparé à l'idée d'avoir frappé la fille Parker. Je ne savais pas trop pourquoi j'avais fait ça, mais tout de suite âpres je lui dis « Tu m'en dois une ». Voilà le jour, ou pour la première fois de ma vie, j'eu un véritable ami.

Au lycée, j'étais toujours avec Luan, il était devenu en sorte mon meilleur ami. Il passait généralement ces nuits chez moi. Sans savoir pour mon père, Luan avait beau être le garçon le plus gentil, le plus doux et le plus bavard au monde. Moi je restais la fille discrète qui faisait semblant d'être toute existé pour la moindre chez chose pour être en accord avec Luan. Le jour de notre remise des diplômes, mon père m'avait inscrit dans une ''faculté''. Enfaîte, il s'était arrangé pour faire croire à tout le monde que j'allais à la fac pour pouvoir m'apprendre à tuer dans avoir le moindre scrupule. Ce qui me semble approprié après m'avoir appris à tirer. Mais ce jour-là Luan arriva à la réception avec un autre bleu de la taille de deux poings. Les poings fermés j'étais prête à aller la tuer. Ce qu'il compris et me demanda « Viens on part ! Loin tous les deux ! ».

Diplôme en poche, chacun chez soit, je pris toutes mes affaires et toutes les économies et tous les sous qui étais destiné à mes ''études'' et je m'en allai. Un bisou à ma mère en lui informant enfin des projets de mon père et des miens que je m'en allai. Quand j'étais petite je m'étais toujours demandé pourquoi ma mère n'avait pas voulus un autre enfant de mon père, maintenant tout était claire, un monstre sur terre suffit.

Et nous voilà ici, dans un logement modeste, avec des revenus modestes, mais on vit. On vit notre vie sans se soucier des problèmes de nos parents.