La vie est étrange. On ne sait jamais de quoi elle est faite mise à part qu'elle a tout contrôle sur la vie et la mort... Je suis née en France mais mon père était américain. Donc j'ai donc appris à parler les deux langues convenablement. Je voulais devenir avocates quand j'étais petite, comme ma mère. Mes parents n'étaient pas riches car même si ma mère était avocate elle travaillait dans un petit cabinet juridique pas très réputé et avant de devenir avocate elle était secrétaire pour son patron. Tout ça pour dire que malgré des parents qui n'étaient pas pleins aux as j'ai eus tout l'amour que des parents peuvent donner à leurs enfants. Je n'ai jamais eus de frères et soeurs et comme mes parents ceux sont toujours bien occupé de moi, je n'ai jamais eus la sensation d'être fille unique.

La france me plaisais mais mon père voulait retrouver ses racines, donc nous sommes partit aux états-unis et avons emménagés à New York. Ma vie là-bas a été parfaitement normal, une adolescence normal, avec des petits copains. Mais rien de bien exceptionnelle. J'avais une famille extraordinaire, tout les dimanche ont se réunissaient et j'organisais une sorte de réception, avec des plats que je faisais et toute la famille partageait un moment conviviale et fabuleux. Du moins jusqu'à ce que ma mère décède d'un cancer du sein. Mon père a rejeté tout le monde, et les dimanche en famille c'était terminé. Mon père ne s'est jamais remis de la perte de ma mère, et c'est occupé seul de moi. J'ai très bien été élevée par mon père, il m'a donné l'affection, et l'attention qu'un enfant doit recevoir. Ma mère était avocate alors j'ai décidé d'avoir mon bac littéraire. Ce que j'ai fais puis après ça, j'ai voulut changer d'air, mon père m'a soutenu à poursuivre mes rêve alors grâce à ma bourse je suis entrée à l'université en Australie. C'est là que les choses ont changés.

J'ai toujours sue de quoi j'étais capable. Je n'ai jamais douté de moi. Je savais où je voulais aller. Puis je me suis retrouvée dans la même classe que ce garçon Edward Anthony MacFeel. Un garçon qui venait de la famille la plus riche de l'Australie. Ils avaient une industrie informatique très réputés pour leurs avancement sur la technologie. Je n'ai jamais quelqu'un d'aussi arrogant, hypocrite et dragueur que ce type. Et pourtant il était doté d'une intelligence hors paire... intelligence, personnalité qui m'ont fait craqué alors que je n'avais que 19 ans.
Une fille de milieu modeste dans une école de riche, ça n'aide pas, surtout quand vous êtes dans le champs de mire du mec le plus demandé de l'école, Edward. J'en ai bavé et je l'ai détesté.

Je ne me suis pas laissée abattre par cet homme qui se croyait supérieur aux autres, un homme qui m'a fait souffrir. Je me suis vite endurcie et j'ai passé avec succès mais quatre années à l'université obtenant mon bac, puis je suis allée à la fac.
Après ça j'ai cherché du boulot. Je suis devenue avocate et j'ai pas tenue longtemps. Comment faisait ma mère pour vivre ça au quotidien? Comment faisait-elle pour voir tant d'horreur défiler. Je suis partit un temps loin de tant d'injustice et je suis revenue y a trois ans. Durant une année entière j'ai travaillé comme secrétaire dans un petit bureau, j'en avais marre d'être traité comme une moins que rien alors que je valais tellement mieux. Puis j'ai postulé pour une annonce, un homme cherchait une secrétaire pour son entreprise, alors j'ai essayé qui tente rien n'a rien. Et quand j'ai passé l'entretiens j'ai compris que je venais de postuler pour les MacFeel, sauf que depuis quatre ans c'est Edward Anthony MacFeel qui est à la tête de l'entreprise et je venais d'être choisis pour devenir son assistante.

Cela fait deux ans que je travail pour lui, et j'ai apprit qu'il n'était pas qu'un homme qui pensait qu'à lui, mais que c'est un homme certes, égocentrique, play boy, bad boy, riche, ventard, têtue, intelligent, milliardaire, mais surtout un homme qui a souffert de l'absence de son père. Personne ne le connait aussi bien que lui, on se comprend sans rien dire, je l'aide même à gérer son entreprise. Sauf qu'il ne m'a pas reconnu et entre nous tout est si compliqué... Je suis a présent sa seule famille comme il est la mienne, mon père est mort lorsque j'étais en seconde année d'université et j'ai jamais réussi à me rouvrir et faire confiance aux gens, je me suis enfermée dans le boulot. Je viens d'un milieu modeste, pas très riche et lui vient d'un milieu si différent, j'ai appris à m'adapter. Une complicité étrange s'est installé entre nous, et j'avoue que j'aime beaucoup ça. Tout les ans il oublie mon anniversaire alors comme tout les ans le jour de mon anniversaire je lui rappelle et il me passe sa carte bleu. Si tout était plus simple. Je prend sur moi tout les matins ou presque quand il me demande laver les vêtements de ses conquêtes et les ramener dehors pendant qu'il magouille dans son atelier. Dur d'être la secrétaire d'un milliardaire.