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(max) books, best weapons in the world.

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sawyer-rose d. caynes

sawyer-rose d. caynes
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MessageSujet: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyDim 20 Jan - 22:48

Maximilien and Sawyer
« Books, the best weapons in the world ! »

En cette journée de janvier, il était difficile de se rendre compte qu'on était en hiver. Il faisait chaud et Sawyer avait décidé d'en profiter pour sortir. C'était bien mieux que de rester cloîtrée chez elle, cherchant désespérément l'inspiration, pour finir deux heures plus tard devant la télé avec un paquet de chips et des litres de soda. Elle voulait faire un tour à la librairie. Cela faisait deux semaines qu'elle n'avait pas lu un livre et il fallait avouer qu'elle avait très envie de connaître la suite du dernier bouquin qu'elle avait lu. En tournant au coin de la rue, la jeune femme remarqua que la boutique était noire de monde. Un évènement rare. D'habitude, l'endroit était calme et silencieux, comme une bibliothèque. Le vendeur lisait des livres de poésie tandis qu'une stagiaire rangeait le rayon science-fiction. Aujourd'hui, c'était bien différent. Par la porte vitrée de la librairie, elle pouvait voir des lectrices se bousculer dans une file d'attente. En jetant un oeil à l'écriteau sur la vitrine, Sawyer comprit immédiatement. Maximilien Oswald, séance de dédicace aujourd'hui dès 14h. Il était exactement 14h03... et la librairie était bondée. Comment expliquer le succès de Maximilien Oswald, écrivain arrogant et imbu de sa personne ? Sawyer ne savait même pas de quoi ses livres parlaient. Elle n'en avait pas ouvert un seul, pour tout dire. Elle avait juste rencontré l'auteur à quelques reprises et décidé qu'il était un véritable enfoiré. Et Sawyer Caynes ne faisait pas ami-ami avec des enfoirés. On pouvait penser qu'elle jalousait son succès mondial, ses livres classés best-sellers et sa célébrité. Mais non. Elle ne pouvait tout simplement pas supporter son caractère et sa personnalité. Sans doute qu'avec la célébrité venait la grosse tête. L'inimité qu'éprouvait Sawyer envers Max était réciproque. Ils ne pouvaient pas se supporter et sautaient sur chaque occasion pour faire la misère à l'autre. Et quelle merveilleuse occasion se présentait à elle aujourd'hui ! Le pouvoir de gâcher la journée de Max en s'imposant durant sa séance de dédicace. Ca le rendrait fou et il se vengerait sans aucun doute, mais la jolie blonde n'avait guère de temps pour les détails. Elle entra avec difficulté dans la librairie à cause de multiples groupies de Max. Elle n'avait d'ailleurs jamais compris ce que des gamines de seize ans pouvaient trouver à un homme ayant dépassé la trentaine. Sawyer attendit patiemment dans la file d'attente avant d'arriver devant l'auteur. "Oh, Monsieur Oswald, j'ai tellement d'admiration pour vous. Dites-moi, comment faites-vous pour garder la tête haute alors que vous être le plus grand imbécile que la Terre ait jamais porté ?" demanda-t-elle avec ironie.

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Maximilian W. Oswald

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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyDim 20 Jan - 23:44

    Les livres. C’est vraiment une chose qui a toujours fasciné notre cher Maximilian. Il s’est laissé entrainer par ce paquet de lignes alignées l’une après l’autre et racontant une histoire. Ce qu’il aime avec la littérature c’est qu’il est possible de s’évader de notre monde ou encore de l’endroit où l’on est sans même quitter la pièce ou bouger. Il suffit simplement de se poser dans un endroit, peu importe lequel et de se concentrer dans ce que l’on va découvrir. Il faut être comme un aventurier qui va s’enfoncer dans une forêt mystérieuse, partir pour découvrir des tas de merveilles. Tout petit il lisait des histoires basiques mais avec le temps et dès qu’il eut la possibilité d’accéder à une bibliothèque un peu plus grande il se mit à entamer des œuvres un peu plus célèbres ou encore des œuvres moins connues mais aussi bien intéressantes. Il avait bien entendu découvert que malheureusement beaucoup de gens n’étaient pas forcément de son avis. C’est pourquoi le métier de professeur de littérature l’avait attiré et qu’il en avait fait son métier au départ. Apprendre la littérature aux élèves et leur montrer ce qui est fascinant là-dedans était son but. Il ne procédait pas comme d’autres professeurs qui voulaient simplement boucler le programme et enseigner les détails précis et images importantes du livre. Max voulait plutôt tenter d’enseigner sa matière de manière amusante et originale à ses élèves.


    Pendant son temps d’enseignement dans l’université de sa ville natale il avait plutôt bien réussit même si cela restait encore un obstacle chez d’autre élève. En même temps il ne pouvait pas convertir tout le temps ou faire apprécier la littérature à tout le monde. Il faut bien quelques personnes pour nous tenir tête. Avec son déménagement dans une autre ville et dans un endroit qu’il ne connaissait pas du tout, Maximilian avait voulu tenter autre chose. Déménager pour tenter de se faire une nouvelle vie alors pourquoi pas tenter de faire un autre métier. Il avait passé des années et des années à lire des livres et à enseigner le contenu des livres alors pourquoi ne pas tenter d’en écrire un ou même plusieurs. Il avait commencé petit à petit et heureusement pour lui cela avait été un petit succès et avec le temps il avait tenté de publier d’autres œuvres et cela était encore une fois un succès. Il est fier de pouvoir faire de sa passion son métier et de pouvoir mettre sur du papier des idées qui lui passent par la tête ou encore parler de choses qui le fascinent.


    Aujourd’hui avait lieu une séance dédicace sur son dernier livre dont le thème était assez spécifique et dont ses lecteurs habituels allaient surement être surpris. A vrai dire ce n’est pas du tout le même style que ce qu’il a écrit pour les précédents. Il se rendit dans le magasin dont sa maison d’édition lui avait parlé la semaine précédente pour lui parler de cette fameuse séance de dédicace. Il allait pouvoir rencontrer un peu plus de personnes qui sont fascinés par ses œuvres et il apprécie ses moments de proximité avec ses fans. L’évènement commence normalement à 14h mais à son arrivée à la librairie, Maximilian fut vraiment surpris et touché de voir tout le monde qui se trouvait dans le magasin. Quelqu’un fit tout son possible pour le faire passer jusqu’à la table où il allait pouvoir s’installer pour signer son œuvre et peut être échangé deux ou trois mots avec des gens et peut être même quelques photos. Il était donc assit à cette table à signer des livres et écouter les diverses choses que l’on avait à lui dire sur lui. Il souriait et répondait en adressant quelques regards de temps en temps pour ses personnes qui avaient fait le déplacement. Quelques photos par ci et par là. C’est vraiment un bonheur pour l’écrivain que de vivre ce genre de moment. Il rend à ses fans ce que eux lui permettent de vivre.

    Il referma un livre qu’il venait de dédicacer et le rendit à sa propriétaire et alors qu’il s’attendait à en avoir un autre entre les mains il entendit la voix de quelqu’un qu’il connaissait assez bien pour l’avoir déjà vu à plusieurs reprise. Il adressa un large sourire à la jeune femme qui était à vrai dire sa rivale même s’il trouvait chez elle quelque chose de si…spécial. Insupportable mais pourtant irrésistiblement attirante. Il ne pourrait vraiment pas se passer de lui faire des crasses tout comme cette dernière le fait avec lui. Voyant qu’elle n’avait pas d’ouvrage il fit signe à quelqu’un de lui en passer un qui se trouvait dans un carton et se mit à écrire quelque chose à son égard « Pour mademoiselle Caynes, une irrésistible petite rivale qui tente en vain de ruiner ma carrière. La persévérance est une bonne chose surtout pour un écrivain. Au plaisir de vous offrir quelques bonnes idées si le cœur vous en dit. Mes amitiés. Votre incroyable maître Oswald. ». Il lui tendit alors l’ouvrage et fit signe aux autres personnes de prendre place pour lui refiler leur livre et qu’il poursuivre ce qu’il faisait avant qu’elle arrive. Il comptait continuer de parler avec elle-même après s’en être occupé.

    « Ravi de vous revoir mademoiselle Caynes. Mesdames et Messieurs…un instant s’il vous plait je voudrais vous présenter une collègue mademoiselle Caynes dont vous pouvez retrouver quelques ouvrages quelques part dans cette librairie et que je vous recommande vraiment. Je vous conseille tout particulièrement son dernier ouvrage en date « La rouge du bonheur » vous n’aurez qu’à le lire une fois la mienne achevée et puis cela vous occupera le temps que j’achève ma prochaine œuvre. »

    Il adressa alors un large sourire à sa petite rivale et continua de signer et d’adresser de temps à autre quelques sourires à ses fans et prendre des photos.




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sawyer-rose d. caynes

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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyMar 22 Jan - 23:43

Maximilien and Sawyer
« Books, the best weapons in the world ! »

Voyant qu'elle n'était venue qu'avec ses répliques sarcastiques, Maximilien offrit un exemplaire de son livre à Sawyer. Exemplaire qui terminerait directement dans sa poubelle évidemment. La jeune femme arracha presque le livre des mains de son auteur quand il eût terminé sa dédicace et s'éloigna dans un coin de la librairie. A la lecture du commentaire d'Oswald, elle ne pouvait qu'éclater de rire. Qu'il puisse se considérer comme son maître ou incroyable était tout bonnement stupide. Sawyer relût pourtant plusieurs fois la dédicace, bloquant son regard sur le mot irrésistible. Elle était irrésistible, et ce n'était même pas elle qui le disait. Comme quoi, il ne fallait jamais douter de son pouvoir de séduction. La jeune femme referma l'ouvrage brusquement quand elle vit Maximilien approcher. Alors qu'elle pensait que l'écrivain s'entretiendrait avec elle en tête à tête, il la présenta à toute la librairie. « Ravi de vous revoir mademoiselle Caynes. Mesdames et Messieurs…un instant s’il vous plait je voudrais vous présenter une collègue mademoiselle Caynes dont vous pouvez retrouver quelques ouvrages quelques part dans cette librairie et que je vous recommande vraiment. Je vous conseille tout particulièrement son dernier ouvrage en date « La route du bonheur » vous n’aurez qu’à le lire une fois la mienne achevée et puis cela vous occupera le temps que j’achève ma prochaine œuvre. » Sawyer faillit virer au rouge pivoine. Qu'on la mette en avant de cette manière était un peu dérangeant, il fallait l'avouer. Surtout quand c'était Maximilien Oswald qui faisait son éloge. Il voulait sans doute la faire enrager... Ca marchait très bien, pour tout dire. « Bien sûr, mes ouvrages sont à l'opposé total de ceux de ce cher Monsieur Oswald... La qualité ne se compare pas au succès commercial et superficiel » Oui, comment comprendre le succès de Maximilien sinon ? Les mères comme les adolescentes rêvaient de cet homme charismatique. Sawyer frissonna en pensant qu'on pouvait fantasmer sur son rival.

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Maximilian W. Oswald

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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyMer 30 Jan - 15:38

    Jouer la carte de l’homme calme en compagnie de Sawyer alors que celle-ci tente de l’énerver ou du moins de foutre son évènement en miette c’était le meilleur moyen de mettre les nerfs à la jeune femme et ça il le savait assez pour savoir comment réagir et quoi faire. La preuve, garder son calme et lui faire un peu de promotion si l’on peut dire cela comme ça, n’avait pas été une chose qu’elle avait dut apprécier. Mais elle n’allait tout de même pas se mettre à crier haut et fort qu’elle ne voulait pas que ce dernier se mette à parler de ses livres pour en parler à tout ce beau monde qui se trouve autour d’eux et qui sont venu exclusivement pour le voir lui et faire dédicacer par la même occasion leur ouvrage tout nouvellement acheté. Ce qui amusa tout de même un peu notre cher auteur c’est de voir qu’une fois qu’il eut terminé d’écrire une petite dédicace sur le livre qu’il comptait offrir à la jeune femme, c’est que cette dernière le lui arracha des mains. Elle qui disait ne pas du tout le supporter ou encore ne pas aimer ce qu’il écrivait et bien elle avait l’air bien impatiente de lui retirer l’ouvrage des mains afin de pouvoir l’avoir dans les siennes. Bien entendu il avait une petite idée de ce qui l’empressait de le prendre.


    Savoir ce qu’il avait rédigé sur la première page devait être quelque chose de très stressant ou du moins d’intriguant. Quand on sait la relation qui les lie on se dit que forcément il a mit des crasses ou encore qu’il lui a dit qu’elle allait payer le nombre de fois où elle avait tenté de lui nuire mais non pas du tout, bien au contraire il faisait tout le contraire et disait une petite part de vérité dans ce qu’il rédigeait à son égard. Il y a de toutes manières toujours une part de vérité dans ce que dit Max. Pendant que cette dernière prit le temps de lire ce qu’il avait rédigé, il ne perdit pas de temps à la regarder faire et continua ce qu’il était en train de faire et ceux pour quoi il était présent dans cette librairie. C’est-à-dire satisfaire son public et ceux qu’il fait rêver à chaque fois qu’il publie un ouvrage. Il aime s’évader lui-même en écrivant ces ouvrages et à chaque fois il essaye de se mettre à la place de son public qui lit ses livres et il espère que cela plaira à beaucoup de gens. Il ne veut pas s’approprier un public précis comme par exemple les quadragénaires ou les plus jeunes. C’est justement à celui qui voudra lire et si cela plait à plusieurs générations et bien tant mieux. Il fut cependant assez content de voir que sa rivale se mit à rougir quand ce dernier se mit à faire sa promotion.

    Mais après tout il ne peut pas être qu’un monstre. Il faut bien que l’on se rende compte que même si en agissant ainsi il voulait la faire rager et bien il reste une part d’humanité derrière parce qu’il est très rare tout de même de voir des gens dans la vie de tous les jours qui font de la publicité pour un rival. Non ? Je me trompe peut être mais dans ce cas précis il faut me le dire immédiatement.

    « Que voulez-vous dire mademoiselle Caynes ? Il est tout à fait normal que nous écrivions des ouvrages complètement différents…sinon nous ferions simplement du beau plagiat et alors il n’y aurait plus le plaisir de lire pour nos adorables lecteurs. C’est le plaisir d’avoir des livres si différents et pourtant si plaisant à lire qui fait le bonheur des lecteurs. Cependant je voudrais contester vos dernières paroles…si un livre est une vrai…bouse alors il n’y aura aucune raison qu’il ait un succès mondial et d’ailleurs il n’y arrivera pas. Si un livre à un succès c’est qu’il le mérite et vous êtes bien placé pour en parler avec vos ouvrages. Que direz votre public si vous disiez cela devant eux… »

    Il continua de lui parler tout en continuant de rédiger quelques petits mots sur les premières pages des livres mais il lui adressait de temps à autre quelques petits regards en attendant de voir sa réaction ou encore ce qu’elle allait lui répondre. C’est là tout l’intérêt d’avoir une conversation.





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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptySam 2 Fév - 22:54

Maximilien and Sawyer
« Books, the best weapons in the world ! »

Sawyer ne désirait pas que son public ne soit composé uniquement de gamines n'ayant rien compris au bouquin et qui voulaient juste faire plaisir à Maximilien en achetant l'ouvrage. Ce genre de lecteurs était bien celui qu'elle aimait le moins. En même temps, elle n'était pas une grande admiratrice de tout ce qui venait de Maximilien Oswald. Récupérer ses fans était donc impensable. Ce qui dérangeait Sawyer, à part ça, c'était que son rival joue les hypocrites et passe pour un gars bien devant toute l'assemblée. Et qu'on la prendrait pour sa protégée. Des fans hystériques voudraient lui faire la peau, alors que Sawyer ne partageait rien d'autre avec le célèbre auteur qu'une rivalité explosive.

« Que voulez-vous dire mademoiselle Caynes ? Il est tout à fait normal que nous écrivions des ouvrages complètement différents…sinon nous ferions simplement du beau plagiat et alors il n’y aurait plus le plaisir de lire pour nos adorables lecteurs. C’est le plaisir d’avoir des livres si différents et pourtant si plaisant à lire qui fait le bonheur des lecteurs. Cependant je voudrais contester vos dernières paroles…si un livre est une vrai…bouse alors il n’y aura aucune raison qu’il ait un succès mondial et d’ailleurs il n’y arrivera pas. Si un livre à un succès c’est qu’il le mérite et vous êtes bien placé pour en parler avec vos ouvrages. Que direz votre public si vous disiez cela devant eux… » Maximilien s'attendait à la voir bouillonner de rage. Certes, elle n'en était pas loin. Mais la jolie blonde garda son calme, et laissa transparaître un sourire bien plus que faux sur son visage. « Nous avons surtout un public très différent, Monsieur Oswald. Mes lecteurs comprennent ce que j'écris... Les vôtres vous lisent à cause de la photo au dos de la couverture » Aïe. Elle ne venait pas de dire ça, quand même ? Elle ne venait pas de dire, en quelque sorte, qu'il était beau garçon ? Merde. « Pour moi, un bouquin peut être une vraie bouse et être classé top des ventes. En tout cas, laissez moi vous dire, et je suis totalement sincère, que j'ai adoré le dernier livre de Monsieur Oswald qui n'a rien à voir avec les vampires végétariens. Achetez-le, ça lui fera plaisir et ça l'aidera à payer le traitement de sa MST... » Oui, bon, d'accord, Maximilien n'avait sans doute aucune MST (elle ne pouvait pas vraiment savoir), mais elle rivalisait à sa manière sur le terrain de l'ami écrivain. « Ah. J'en ai trop dit. » Elle se pinça la lèvre et prit un air gêné. L'histoire de MST allait le rendre fou.. Et lui faire perdre quelques conquêtes pour les nuits à venir. Désolée ? A peine. Sawyer avait même du mal à s'empêcher d'éclater de rire.


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Maximilian W. Oswald

Maximilian W. Oswald
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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyLun 4 Fév - 22:58



    Maximilian a toujours été surpris de sa clientèle ou autrement dit de son public. Il n’a jamais écrit des livres pour une catégorie bien particulière cependant il ne s’attendait vraiment pas à toujours plusieurs générations et des types tout à fait différents. Mais généralement quand on n’aime pas une personne on ne voit que le mal chez la personne et c’est sans doute ce qui doit se passer chez la jeune femme qui fait face à notre grand auteur. Pour elle les seules personnes qui aiment les ouvrages de Maximillian ce sont de jeunes adolescentes qui ne doivent surement pas comprendre la moitié de ce qui est écrit dans les bouquins mais qui ne les achètent que pour les beaux yeux de la personne qui les a rédigés. Bien entendu il espère que ce n’est pas le cas car il aime vraiment que l’on comprenne la passion et le temps qu’il a mit à les écrire même si le simple fait qu’il soit acheté lui apporte de l’argent. Elle était entré dans la librairie sûrement dans le but de voir ce qui se passait et quand elle a vu de qui il s’agissait elle a dut se dire qu’il lui serait possible de foutre un peu le bordel .Du moins c’est l’idée que se fait notre auteur et cela ne le dérange pas car il a à vrai dire l’habitude.

    Elle était si adorable et cela faisait tant sourire notre cher monsieur Oswald. Dire qu’ils ont tous les deux un public différent n’est surement pas un mensonge car il est fort possible que ce ne soit pas du tout les mêmes personnes qui achètent les ouvrages de la demoiselle et les siens. Mais cela n’est en aucun cas un problème. Cependant elle osait dire que les personnes ne se mettent pas à acheter l’œuvre pour son contenu ou du moins si c’est pour son contenu et bien ces personnes ne le comprennent pas mais que c’est pour la photo qui se trouve au dos. Précisions que la photo qui se trouve en quatrième de couverture est bien entendu une photo de l’auteur des œuvres. C’est assez poussé comme idée et vraiment puéril mais il ne faut pas se vexer pour si peu ou du moins jouer sur ce qu’elle vient de dire et s’en amuser.

    « Hum…si je comprend bien vous pensez que certains de mes lecteurs se contentent d’admirer ma photo à l’arrière de leur bouquin. C’est une idée assez plaisante mais au cas où vous seriez coupée du monde je vous rappelle qu’Internet existe et qu’il est possible aux personnes d’avoir des photos de moi sur la toile. Par conséquent je doute de la plausibilité de vos paroles. Mais appelons cela un lapsus révélateur. »

    Hum…il est vraiment drôle enfin du moins amusant de voir la manière dont elle semblait vouloir se rattraper. Enfin ce n’était qu’une impression qu’avait Max mais bon peut être qu’il se trompait tout simplement sur toute la ligne et qu’au final elle ne voulait aucunement se rattraper mais juste prolonger la discussion et poursuivre ses propos. Mais une chose amena Maximilian à arquer un sourcil en l’entendant parler. Jamais elle n’avait eut le geste de dire quoique ce soit d’aimable sur ses ouvrages et il semblerait qu’elle soit en train de le faire. Evidemment ce n’était pas de la gentillesse gratuite, c’était un détournement pour en revenir à la méchanceté. Cela aurait été trop beau pour être vrai et vraiment très surprenant mais voilà qu’elle en était revenue à la provocation. Mais le meilleur était quand même qu’elle utilisait à nouveau le coup de la MST pour le mettre dans une merde incroyable. Monsieur Oswald lui lança un regard en biais et se massa les tempes. Il entendit alors des murmures dans la foules et se leva en mettant ses bras en l’air pour faire signe à tout le monde de retrouver le calme.

    « Du calme mesdames et messieurs…je vous rassure je suis en vie pour de longues années encore et en bonne santé. Oh mademoiselle Caynes c’est si gentil de vouloir faire un geste pour moi mais je n’ai pas encore reçu les résultats et ce n’est pas du tout sûr que vous m’ayez refilé votre MST. Je sais bien que vous êtes jalouses de toutes ces charmantes jeunes femmes mais elles n’ont pas la même importante que vous, vous le savez très bien. D’ailleurs en parlant de traitement je devrais pouvoir vous aidez à payer celui impayé du mois dernier. »

    Il regarda alors les agents qui se trouvaient autour et il demanda s’il était possible de pouvoir s’entretenir avec la jeune femme dans un endroit à l’écart de tout ce monde et de laisser tout le monde faire une petite pause.




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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyMer 13 Fév - 17:28

Maximilien and Sawyer
« Books, the best weapons in the world ! »

« Hum…si je comprend bien vous pensez que certains de mes lecteurs se contentent d’admirer ma photo à l’arrière de leur bouquin. C’est une idée assez plaisante mais au cas où vous seriez coupée du monde je vous rappelle qu’Internet existe et qu’il est possible aux personnes d’avoir des photos de moi sur la toile. Par conséquent je doute de la plausibilité de vos paroles. Mais appelons cela un lapsus révélateur. » Donc, il avait fait attention à sa petite gaffe. La jeune femme se mordit la lèvre inférieure et leva les yeux au ciel. C'était quelque peu gênant. Maintenant, ce "lapsus révélateur" allait faire d'elle une admiratrice de plus de Maximilien Oswald... Chose qui ne la tentait évidemment pas. Sawyer se rattrapa avec quelques paroles venimeuses cachées derrière un ou deux compliments. Agitation dans la foule. Rapidement, les gens commencent à parler et à utiliser leur téléphone portable. Twitter, Facebook, tout est bon pour répandre la rumeur. La jeune femme était à deux doigts de tourner la tête vers son rival et de lui adresser un sourire maléfique. Max se massa les tempes. Il ne mit pas longtemps à trouver une solution. Après tout, ce n'était pas la première fois qu'elle disait qu'il avait une MST. C'était surtout auprès de ses conquêtes qu'elle disait ça, pour les faire fuir. Jamais devant autant de monde. Max calma la foule. « Du calme mesdames et messieurs…je vous rassure je suis en vie pour de longues années encore et en bonne santé. Oh mademoiselle Caynes c’est si gentil de vouloir faire un geste pour moi mais je n’ai pas encore reçu les résultats et ce n’est pas du tout sûr que vous m’ayez refilé votre MST. Je sais bien que vous êtes jalouses de toutes ces charmantes jeunes femmes mais elles n’ont pas la même importante que vous, vous le savez très bien. D’ailleurs en parlant de traitement je devrais pouvoir vous aidez à payer celui impayé du mois dernier. » Ah d'accord. Il utilisait sa propre pique contre elle. Sawyer avait donc un adepte du recyclage sous toutes les formes devant elle. Elle esquissa un sourire. « La prochaine fois, dites à votre frère de vérifier la date d'expiration de ses préservatifs. Il faut croire que l'Alzheimer précoce c'est de famille » Sur ces mots, la jolie blonde tourna les talons et sortit de la boutique. Peu lui importaient les ragots et ce que les gens pensaient d'elle. Du moment qu'on pensait aussi à ce cher Max...
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Maximilian W. Oswald

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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyMar 19 Fév - 14:12

    C’est une chose qu’il fait rarement que d’utiliser les pics lançaient par les autres pour les renvoyer contre eux mais malheureusement celui qu’elle avait lancé à Maximilian était bien trop gros et important pour qu’elle s’en sorte. Il se devait de lui montrer que ce qu’elle s’amuse à manier si facilement et à balancer sans se soucier des répercutions que cela aura sur la vie ou la profession de Max peut être aussi agaçant et difficile pour lui. Mais il semblerait qu’au final, ni l’un ni l’autre ne se soucie de ce que l’on dit sur eux. Ils savent ce qu’ils sont réellement mais ils savent néanmoins qu’il est nécessaire d’entretenir une bonne image d’eux pour leur public, pour ceux qu’ils fascinent avec leurs ouvrages. Il ne pouvait pas non plus lancé des trucs sans réfléchir tout cela pour pouvoir seulement rétorquer quelque chose à la demoiselle et ensuite être tranquille jusqu’à ce que cette dernière contre-attaque et c’est pour cela que même si la foule se mettait à s’agiter, il prit le temps de réfléchir un peu et prit la décision de renvoyer la balle avec le même sujet. Elle ne devait sans doute pas s’attendre à ce que ce dernier agisse ainsi et ne sorte pas autre chose, quelque chose de tout nouveau et qui l’agace tout autant. Il le voyait dans son regard mais cela l’amusait tout autant.

    Voilà que mademoiselle désirait s’attaquer à la famille. C’est qu’il est propre le monde ! Elle n’était pas capable de s’en tenir à une seule et même personne. Démentir et dire qu’il n’avait pas de frère serait une solution comme une autre. Il pourrait aussi très bien ne rien dire et laisser les gens parler après tout il faut bien quelques ragots pour faire parler de lui et puis si les gens sont assez stupides pour la croire c’est leur problème, il espère simplement que d’autres seront assez intelligent pour ne pas croire ce qui est dit ainsi et qu’ils auront peut être vu cette façon qu’ils ont de se comporter à chaque fois qu’ils se croisent sur des évènements.

    « Veuillez m’excusez mesdames et messieurs mais nous allons faire une petite pause ! Pour ce que vous venez d’entendre je n’ai même pas de commentaire à faire, je laisse libre choix à vos esprits de croire ou non ce qui est dit je suis même certain que beaucoup se révèleront être plus intelligent qu’ils ne le montrent.

    Flatter l’égo des gens et leur montrer qu’ils ne sont pas abrutis c’est ce qu’il faut généralement faire pour qu’ils prennent conscience de leur vraie intelligence et qu’ils se mettent à prêcher le vrai du faux. Il ne prit même pas le temps de répondre à la jeune femme ou de relancer un pic. Elle était partie sans attendre une réponse de sa part après tout mais peut être qu’elle attendait de lui qu’il arrête là et qu’elle puisse rentrer sans problème chez elle. Peut-être que bien au contraire elle espérait pouvoir continuer à agir ainsi mais avoir autant de monde autour, ce qui semblait assez bizarre. Il lui attrapa le bras une fois qu’il fut à sa hauteur dehors et lui fit alors face. Une idée venait de faire tilt dans sa tête et qui serait sans doute bénéfique pour lui comme pour elle. Il prit attention à bien tenir les mains de la jeune femme et l’embrassa puis il recula son visage et lui dit avec un léger sourire.

    « Souriez, nous sommes photographiez. Ne tentez même pas de me gifler cela serait un point négatif sur leur prochain article. Cela sera autant une bonne pub pour vous que pour moi. En parlant de moi ils parleront de mon dernier ouvrage et vous ils vous questionneront surement sur vos anciens ou votre prochain. Soyons plus sérieux…la suite de vos aventures sont pour quand ? »

    Ce n’est pas parce que l’on se déteste qu’il faut mépriser le travail des autres. Vous pensez que les auteurs ne lisent que leur ouvrage et puis c’est tout. Il avait bien entendu lu certains ouvrages de la demoiselle et le dernier avait tenu le jeune écrivain en haleine alors s’il devait y en avoir un à suivre il voudrait être au courant.




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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptyVen 22 Fév - 12:09

Maximilien and Sawyer
« Books, the best weapons in the world ! »

Sawyer souffla. Enfin un peu d'air. Il fallait avouer que cette boutique était quelque peu étouffante... et Max aussi. L'auteur allait devoir s'expliquer avec ses lecteurs et ça lui laisserait le temps de filer à l'anglaise. Quelques minutes après son départ de la boutique, une main attrapa son bras pour la retenir. Elle savait très bien que ça ne pouvait qu'être Maximilien et qu'il n'en avait pas fini avec elle. Ce dont elle ne se doutait pas, par contre, c'était que l'écrivain allait lui offrir un tendre baiser en lui tenant les mains. Une milli-seconde plus tard, Sawyer crut entendre des milliers de flash d'appareils photo. Maximilien souriait, fier de son coup. « Souriez, nous sommes photographiez. Ne tentez même pas de me gifler cela serait un point négatif sur leur prochain article. Cela sera autant une bonne pub pour vous que pour moi. En parlant de moi ils parleront de mon dernier ouvrage et vous ils vous questionneront surement sur vos anciens ou votre prochain. Soyons plus sérieux…la suite de vos aventures sont pour quand ? » « Ne vous inquiétez pas, je vous giflerais plus tard... Espèce d'enfoiré » murmura-t-elle en grinçant des dents. « C'est traitre de commencer sur cette pente-là, bientôt ma boîte aux lettres va être remplie de lettres de menaces de groupies enragées de Maximilien Oswald... La date de mon prochain bouquin ? » Alors comme ça, Max s'intéressait à ses livres ? Voilà qui était flatteur. Bien sûr elle n'allait pas le lui avouer. « Si mes livres vous intéressent tellement, je vous promets que vous serez le premier averti de la date de sortie... »
© Chieuze

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Maximilian W. Oswald

Maximilian W. Oswald
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MessageSujet: Re: (max) books, best weapons in the world. (max) books, best weapons in the world. EmptySam 9 Mar - 20:42

    Embrasser la petite Sawyer-Rose. C’était fait et en plus d’être un petit plaisir personnel c’était une doublement une satisfaction car il savait très bien qu’au fond cela allait l’agacer et que son sang n’allait faire qu’un tour à l’intérieur mais pour le bien de sa pub mais aussi pour que ça ne parle pas trop d’elle dans la presse il était préférable qu’elle n’envoie pas une claque dans la figure de celui qu’elle semblait ne pas apprécier du tout. Cela, Max le savait et en jouissait, il affichait son fameux large sourire et s’amusait beaucoup en fait quand elle était là. Elle avait bien fait de venir le voir dans la boutique au final. Une fois qu’il a terminé sa petite mise en garde, il laissa bien entendu la jeune femme parler, il ne doit pas être le seul à monopoliser la parole et ils peuvent parler tranquillement car les gens et les personnes qui filment sont à l’intérieur pour l’évènement. Max ne pouvait vraiment pas s’empêcher de sourire quand il entendait la demoiselle lui dire qu’elle le giflera de toutes manières et qu’elle le traita d’enfoiré.

    Il était sûr qu’il allait avoir une telle réaction et ça l’amusait franchement. Elle lui parlait en plus en serrant les dents ce qui accentue le fait qu’on note qu’elle est agacé mais de loin cela ne peut être qu’un détail que les gens ne verront pas.

    « Arrêtez un peu…vous avez un mauvais jugement sur mon public…si vous avez effectivement la moindre lettre de menace alors n’hésitez pas à me contacter et si vous souhaitez un dédommagement je ne serai pas contre vous verser quelque chose si cela peut vous empêcher de me tirer la tête. »

    Effectivement, il a déjà ouvert quelques ouvrages autres que les siens et celui de la jeune femme. Ce n’est pas parce qu’elle est sa plus grande rivale qu’il ne doit pas ouvrir un de ses ouvrages. Par curiosité il voulait savoir quand elle sortirait le prochain mais il semblerai qu’elle soit trop fière pour vouloir lui dire.

    « C’est entendu…pour mon ouvrage ne l’utilisait pas immédiatement pour votre feu de bois…feuilletait le au moins. Au revoir ! »

    Il se retourna et retourna à sa séance dédicace.





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