oupable d'une nuit blanche, j'avais la tête énorme, une batterie s'y était bien sûr installé j'en pouvais plus. Cette nuit blanche je l'a devais à ma toiture du à l'orage, j'en avais marre, une journée pourri en perspective, je prenais le téléphone et j'avais fait appelle à un réparateur qui m'avait informer qu'il passerait dans la mâtiné. J'allais donc me préparé, je m'attendais à ce que la personne qui allait se déplacé arrive rapidement je rêvais de mon lit face à cette migraine qui me rendait folle, j'avais la sensation que chacun de mes pas raisonnait dans mon esprit. M'installant sur le canapé avec ma quinzième tasse de café à la main la couverture sur moi, je regardais des séries télé et prise de fatigue je m'endormais. Je ne sais pas combien de temps je me suis retrouvé plongé dans un sommeil profond, alors que j'ouvrais doucement les yeux il était déjà deux heure de l'après midi, je commençais à être énervé parce que le réparateur devait déjà venir au matin. Je ne pouvais pas non plus bougée de chez moi puisque je ne savais pas du tout quand est-ce qu'il se déciderait à venir je tournais en rond dans la maison que j'avais toujours trouvé trop grande pour moi. Encore une idée folle de mes parents qui avaient même choisi l'endroit où je devais vivre, je soupirais lorsque j'entendis enfin la sonnette. Je me dirigeais à l'entrée et ouvrait à un jeune homme sur le moment j'étais vraiment énervé mais tenais à prendre sur moi. Bonjour, entrée je vous en pris. Je me dégageais de l'entrée pour le laissé entrée.
C. Henri Perkins
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Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne Jeu 17 Jan - 20:42
Parce qu'il faut payer mon hypothèque et surtout parce que c'est mon job, je me rends ce matin chez une certaine mademoiselle Cameron qui a de certains problèmes avec sa toiture qui aurait des fuites qui l’empêcheraient de dormir - comme généralement le font la plupart des problèmes de toiture. Démarrant le merveilleux pick-up rempli à craquer de nombreux instruments servant à m'occuper des problèmes de la maison de la demoiselle en question, je me dirige donc vers l'adresse indiquée sur la note griffonnée plus tôt pendant la discussion téléphonique avec mon patron. Souvent, on se rend à plusieurs à certaines adresses lors de travaux plus complexes mais lors de petits travaux plus simples comme semblait être la description de ce qui se déroulait chez Cheyenne Cameron, aller seul chez elle ne semblait pas être un problème. Finalement, j'entre dans l'entrée de la maison de la jeune femme qui m'invite à entrer chez elle. J'ai laissé mes instruments dehors sachant que de toute façon tout se déroulerait à l'extérieur de la maison. J'analyse les yeux, assez joli comme endroit, et souri poliment à la jeune femme avant de finalement ouvrir la bouche. « Excusez-moi mais pour examiner le problème il faudra me montrer de l'extérieur, car sinon je ne peux pas faire grand chose pour vous. » Je ris maladroitement, seulement je n'ai pas vraiment envie de perdre mon temps à visiter la maison, après tout je suis surtout ici pour réparer son problème de toit...
Invité
Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne Jeu 17 Jan - 21:43
e temps avait filé et j'avais déjà perdue une bonne partie de la journée encore heureux que je n'avais pas eu besoin d'allée étudier aujourd'hui car j'aurais pris beaucoup de retard dans mes révisions. Je faisais toujours de mon mieux pour mes parents à croire que tout ce que je faisais dans ma vie dépendait d'eux c'était souvent une pression pour moi bien que je les aimais énormément. Alors j'avais tenté d'occuper au mieux ma matiné même si dormir n'était pas la meilleure méthode je dois bien l'admettre. Ce n'est qu'en début d'après midi qu'il s'était décider à venir alors, le faisant entrée j'avais cru faire preuve d'hospitalité mais très vite il me fit comprendre qu'il avait autre chose à faire que voir mon interrieur ce qui ne me mit pas de bonne humeur moi qui avait déjà patienter une bonne partie du temps. Vous connaissez la sortie! Dis-je d'un ton sec vexé et fatigué je le suivais dehors et le conduisait à l'endroit ou les tuiles étaient tombé. Je le laissais inspecté silencieuse, j'étais grognon et sa m'arrive rarement. Voilà content, l'échelle est là! Je prenais le temps de le regarder et remarquait qu'il était vraiment bel homme mais je n'avais pas aimé la manière dont il m'avait parlé.
C. Henri Perkins
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Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne Jeu 17 Jan - 22:03
À son ton sec, on voyait bien que la demoiselle n'avait pas apprécié ma remarque à propos du fait que j'étais ici pour travailler et non pour visiter sa demeure, aussi jolie soit-elle. Pas que je m'en fous, mais c'est surtout que je suis payé au nombre de travail que j'exécute et non à l'heure que ça me prends à le faire dans la journée. Donc je suis là, observant l'échelle et allant finalement chercher les outils que ça me prendra pour réparer les tuiles ayant glissé de son toit. Le problème est visiblement un jeu d'enfant, mais une personne expérimenté n'aurait certainement pas pu fixé le problème lui-même, alors je comprends bien pourquoi elle a fait appel à un professionnel. Emmenant mon sac à outils, je vois que la jeune femme est toujours là, et je me dis qu'elle surveille probablement les travaux comme plusieurs clients le font souvent par risque que les travailleurs ne fassent des conneries, ce qui arrive parfois, malheureusement. Je soupire et me mets à examiner la toiture un peu plus en détails, puis je descends sur le sol, fouillant dans mon sac à la recherche de quelques instruments, agrippant ensuite les tuiles tombées pour remonter les reposer, les installant de façon un peu plus sécuritaire puisque je ne sais pas trop comment elles avaient été posées la première fois, mais ce n'était certainement pas convenablement. Redescendant par terre, je souris puis hausse les sourcils. « Je sais pas trop qui avait posé ces tuiles, mais vous devriez probablement faire vérifier plus que ça, parce que sincèrement, c'est plutôt mal organisé là-haut. » Je croise les bras puis range mes affaires, prêt à m'en aller, attendant mon congé.
Invité
Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne Jeu 17 Jan - 22:30
e ne sais pas vraiment pourquoi j'avais été sèche avec lui c'était pas vraiment dans mon tempérament mais sans doute ma nuit blanche commençait elle à agir sur mes émotions et ma patiente, je m'en voulais un peu mais comme je venais de me rendre compte que j'étais resté là à le regarder me rendant compte qu'il était vraiment bien foutu le réparateur de toit, je laissais mon regard vagabondé sur ses fesses et me sentait gêné par une telle réaction alors qu'il descendait et remontait de l'échelle, je baissais les yeux sur le sol. Je ne savais pas trop comment me rattraper par apport à la manière dont je lui avais parlé en plus il était simplement venu faire son travail. Alors il descendit de son échelle ayant terminé le travaille pour lequel il était venu, il m'expliqua que ma toiture c'était pas vraiment du bon boulot alors que je ne savais pas vraiment qui avait fait ce travail je me sentais mal à l'aise. Et bien pour être honnête je n'en ais aucune idée mais puisque vous êtes là pourquoi ne pas vous en occuper, je peux vous offrir une tasse de thé si vous le désirez même si bien entendu vous avez autre chose à faire je suppose. Je suis prête à payer ce qui faudra. Je ne sais pas vraiment ce que j'attendais en demandant ça, mais j'avais pas envie qu'il s'en aille bien que je le trouvais un peu sur de lui et vraiment pas sociable je ne pouvais pas détacher mon regard de lui. Je suis désolé pour la manière dont je vous ais parlé mais j'ai eu une mauvaise nuit! Voilà au moins j'avais présenter mes excuses au jeune homme, mais je m'attendais à un réel refus de sa part.
C. Henri Perkins
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Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne Dim 20 Jan - 18:11
Elle me répond qu'elle n'a aucune idée de qui a fait le travail de la toiture, ce qui m'aurait plutôt étonné, puisque bien que la maison semble très bien entretenue et rénovée, ça ne cache pas qu'elle ne doit pas être neuve. Elle me propose aussi de rester, puisque je suis déjà chez elle, et de m'occuper de réparer tout ce qu'il y a à faire. Je ne sais pas si elle le réalise, mais c'est de me taper la réparation entière de la toiture de sa maison qu'elle me demande. Elle m'offre de me préparer une tasse de thé et me dit qu'elle est prête à me payer pour l'extra du boulot. Je me sens vraiment mal et je ne sais pas trop quoi dire, parce qu'il est certain que je ne peux pas faire tout le travail qu'elle m'a demandé. Je n'ai pas l'équipement et je ne peux certainement pas tout réparer seul. Je me gratte la nuque avant de l'écouter s'excuser pour ce qu'elle m'a dit tout à l'heure. Je souris gentiment avant de lui répondre. [color=steelblue]« C'est pas si grave, j'ai connu bien pire »] Je me tais pour l'instant avant de finalement me remettre à parler, cette fois-ci de réparation. « J'aimerais bien pouvoir tout réparer, malheureusement je n'ai pas tout l'équipement nécessaire sur moi. Et même si je l'avais, je ne pourrais pas faire tout ça sais aide, ça me prendrait au moins trois semaines, je suis vraiment désolé. » Je marque une pause et enfouis une main dans une poche de mon jeans pour en sortir mon téléphone portable, en sortant mon téléphone portable pour regarder l'heure. Après l'avoir rangé, je reprends encore la parole. « Par contre, je peux très bien jeter un coup d’œil et réparer ce qui semble pressant, sans même vous charger quoi que ce soit. Comme ça, en attendant de remettre votre toiture à neuf, vos nuits seront moins pénibles. » Je lui souris moqueusement et retourne à mon pick-up chercher mon sac, me doutant que la journée est loin d'être terminée.
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Sujet: Re: une compagnie dont on se passerait - henri&cheyenne
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